Aujourd’hui comme hier, Mary Beth Keane

Aujourd'hui comme hier, Mary Beth Keane

Ce roman nous parle de résilience, de pardon, de ce qu’on est capable d’endurer, de ce qu’on est capable de donner aussi…

C’est un roman assez long (mais sans longueurs !) qui suit la vie de familles finalement banales qui vont voir leur quotidien subitement bouleversé.

Il nous parle aussi du regard de l’autre et de ce qu’on projette sur soi, de fragilité, de folie, d’amour filial et de désamour dans le couple.

Ce sont deux familles de l’Amérique contemporaine qui ont la particularité de vivre l’une à côté de l’autre dans l’une de ces banlieues new-yorkaises que l’on imagine facilement, les pères de famille sont policiers et les mères étouffent littéralement d’amour pour leurs propres enfants.

En sujets connexes : l’origine sociale et culturelle (l’Irlande pour Anne et Francis), l’alcoolisme qui balaie tout d’un revers de la main, l’héritage familial…

Le doute, lui, s’insinue très doucement dans l’histoire, il avance à pas de loup… Tout n’est pas si lisse, si banal…

Mary Beth Keane dresse des portraits dévorants d’humanité, les personnages oscillent entre haine et amour. La vie dans toute sa dualité…

Retrouvez plus de détails sur le site de l’éditeur

𝗥𝗲́𝘀𝘂𝗺𝗲́ : Deux familles sans histoires. Un lien indéfectible. Une journée qui va tout changer.

Francis Gleeson et Brian Stanhope, jeunes recrues de la police de New York, sont aussi voisins à Gillam, petite ville de banlieue. Ce qui se passe chez eux à huit clos – la solitude de Lena, l’épouse de Francis, et l’instabilité d’Anne, la femme de Brian – prépare le terrain pour la tragédie à venir.

Nés à six mois d’intervalle, Kate et Peter, leurs enfants respectifs, tissent au fil du temps une amitié profonde, annonciatrice de l’amour qui les unira à l’âge adulte. Mais l’année de leurs 14 ans, le pire finit par se produire. Brusquement séparés l’un de l’autre, les deux adolescents doivent poursuivre leur vie dans des foyers anéantis…

Grand roman de l’Amérique contemporaine, Aujourd’hui comme hier nous parle de la fragilité du bonheur, des sacrifices nécessaires pour l’atteindre et embrasse la vie de famille dans toutes ses nuances. Une méditation intrépide sur le prix de la loyauté et le pouvoir du pardon.

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