Amour, gloire et… ratés, Guillaume Dessaix

Parfait pour briller au prochain repas entre amis !

Ce livre est vraiment divertissant et, si les textes sont concis, ils n’en restent pas moins singuliers et bien travaillés.

On apprend ainsi quelques anecdotes croustillantes sur les grands hommes ou encore sur les inventions qui ont révolutionné (ou pas d’ailleurs !) notre histoire. 

Héros ou Zéro : à vous de choisir votre camp !

Parmi l’une des histoires les plus emblématiques, voici celle du « Vin de Mariani ».

Créé en 1863 par le pharmacien Angelo Mariani, ce puissant tonique (qui « réveillerait les morts ») est très à la mode à Paris.

Il est vendu cinq francs la bouteille de cinquante centilitres dans la pharmacie Mariani située boulevard Haussmann…

Sa notoriété est telle que le breuvage va traverser l’Atlantique pour être réinventé par John Pemberton, qui, sous le coup de la prohibition, va encore changer de formule troquant l’alcool qu’il contient contre… 8,49 milligrammes de cocaïne (mêlé à un sirop de sucre et à de l’eau gazeuse tout de même…).
On comprend alors aisément que le breuvage conçu ait pu susciter l’engouement de nos contemporains…

Vous aurez sans doute reconnu l’ancêtre de la fameuse boisson au logo caractéristique en rouge et blanc…

En tout 120 historiettes à découvrir (parfois drôles, savoureuses ou plus dramatiques…).

Retrouvez plus de détails sur le site de l’éditeur

𝗥𝗲́𝘀𝘂𝗺𝗲́ :

Tester un parachute en sautant de la tour Eiffel était-il une bonne idée ?

Le Coca-Cola a-t-il été inventé dans une pharmacie parisienne ?

Qui a pris la première photo de Marilyn Monroe ?

Il s’en faut parfois de peu que l’histoire fasse de vous un héros… ou un zéro.

Un cycliste bienveillant, une caméra déclenchée à l’instant fatidique ou une invention mal fichue : ces petits détails peuvent apporter fortune et gloire, ou bien condamner à la misère et à l’anonymat.

Guillaume Dessaix, journaliste et chroniqueur, nous raconte ces beaux succès et ces ratages lamentables en explorant la face B de l’histoire.

Je vous propose de poursuivre la lecture avec un autre essai : VITE ! Les nouvelles tyrannies de l’immédiat de Jonathan Curiel

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