L’Heure blanche, Catherine Faye

◇ Blanche est minérale, effacée, pure ◇

Blanche c’est le nom de l’héroïne énigmatique de Catherine Faye.

La blancheur semble revêtir toutes les facettes de sa vie et de sa personnalité : un physique éthéré, des relations aux autres parcimonieuses (elle les évite jusque-là le plus possible).

Blanche semble uniquement se passionner pour son vieux reflex Nikkormat : il lui permet de s’effacer complètement derrière l’objectif, de s’oublier dans la contemplation et photographier la nature grandiose qui l’entoure (la montagne de Sainte-Victoire, les minéraux…).

Pourtant, une fois recluse dans son appartement, Blanche devient une autre : un double opposé, Cleo, qui s’adonne à la vente de plaisir virtuel sur internet.

Mais ce quotidien immuable est soudainement ébranlé : en même temps que de curieuses éruptions volcaniques secouent la planète entière, des messages lui parviennent de l’autre bout du monde, du Chili…

Dans un premier temps, elle ne veut pas les voir, mais Blanche va devoir lâcher le cocon créé pour affronter la vraie vie et peut-être aussi l’amour…

Retrouvez plus de détails sur le site de l’éditeur…

𝗥𝗲́𝘀𝘂𝗺𝗲́ : Une exploration éblouissante de ces chemins qui mènent à soi et vers l’autre

À trente ans, Blanche vit à l’écart du reste du monde. Pour barrer la voie aux souvenirs, elle s’ancre aux beautés de  la nature, sillonne la montagne Sainte-Victoire, qu’elle photographie sans relâche. Soudain, son passé remonte à la surface. Dans sa boîte à lettres, des cartes postales anonymes en provenance du Chili, où elle a grandi. Sur son téléphone, des SMS de sa gouvernante, Mademoiselle, perdue de vue depuis vingt ans. L’apparition enfin, au Petit Café, d’un jeune homme singulier, Marcel, poète-magicien né dans un pays lointain.

Du jour au lendemain, sa carapace se fissure. Comme en écho à sa métamorphose, partout sur la planète, les volcans s’éveillent. Vers une renaissance prodigieuse.

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