L’Australie… J’en rêvais gamine, j’avais même écrit à l’ambassadeur australien à Paris lorsque j’étais en primaire.
Il m’avait répondu ! Dans l’enveloppe : des cartes et des documents touristiques… Bon il ne m’a pas invitée à me rendre à Canberra donc c’était un peu une déception tout de même pour tout vous dire…
Ingrid Anderson-Aylestock, elle, a sauté le pas, elle nous retransmet ici le journal de son voyage en Australie, un voyage qui a définitivement changé sa vie et sa perception du monde.
Elle a osé quitter – seule – son Québec natal à l’âge de 18 ans pour partir à l’aventure.
Le changement était certes brutal, mais il n’était pas pour lui déplaire.
D’abord jeune fille au pair, elle va cumuler les jobs et multiplier les rencontres qui vont changer sa vision de la vie.
Alors dans sa forme c’est bien d’un journal dont il s’agit avec une chronologie et des dates précises (je regrette qu’il n’y ait pas de photos des magnifiques paysages australiens).
C’est parfois très intime (elle ne cache rien, le texte brut), parfois drôle et en tout cas toujours empreint de curiosité, d’une joie de vivre simple et communicative.
« J’ai voulu écrire ce livre et dévoiler au grand jour mon journal personnel que j’ai tenu jour après jour pendant mon immersion car je voulais d’abord inspirer les gens à voyager et à vivre leur rêve. »
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Résumé : « En arrivant, j’étais plus que ravie. J’en avais parlé, rêvé, et maintenant j’y étais. Je vivais mon rêve. Je me suis sentie tellement fière. Sept-Îles était bien loin maintenant et allait le rester pour un bon bout de temps. »
À 18 ans, Ingrid décide de quitter la Côte-Nord du Québec pour aller apprendre l’anglais en Australie. En s’immergeant dans un pays totalement inconnu, son univers et sa conception du monde seront bouleversés. Entre aventures rocambolesques et trouvailles fascinantes, à la fois de soi-même et des autres, la vie au bout du monde lui apprendra que le présent se trouve dans n’importe quel moment. La jeune adulte qu’elle est se découvrira une passion incorrigible pour les voyages, mais aussi pour l’existence.
