J’avais raté la lecture du premier livre d’Antoine Renand ‘L’Empathie » dont j’avais tellement entendu de bien chez mes amis chroniqueurs… Alors ce deuxième livre, je m’étais promis de ne pas le manquer !
Je pars ainsi à l’inconnu et je ne suis pas déçue ! L’auteur me transporte dans son univers policier très sombre, l’intrigue se déroule « sans accroc », les personnages ont de l’ossature et donnent le rythme aux différents passages du livre.
Il ne s’embarrasse pas, il va jusqu’au bout, même si c’est pour raconter l’horreur dans ses moindres détails…
Il ne cache rien non plus des vices et failles de ces personnages : le passé dont on ne se remet jamais, la perversité du meurtrier dont on découvre les actes (la description se fait au scalpel, elle est minutieuse, écoeurante…) mais c’est ce qu’on veut non ? .
Retrouvez plus de détails sur le site de l’éditeur…
𝗥𝗲́𝘀𝘂𝗺𝗲́ : Un enquêteur à la retraite, hanté par une erreur qu’il estime avoir commise quinze ans plus tôt.
Un jeune auteur, considéré comme le plus grand spécialiste français des tueurs en série.
Une brillante avocate, dévouée à la défense d’un homme victime, selon elle, d’une effroyable injustice.
Ensemble, ils devront débusquer le plus insaisissable des prédateurs.
2005. Dans un village perché d’Ardèche, la petite Justine, sept ans, disparaît.
Rapidement, les habitants s’organisent et lancent des battues dans la nature environnante.
Les recherches se prolongent jusque tard dans la nuit mais ce n’est qu’au petit matin que le gendarme Tassi découvre quelque chose…