Saru, Daisuké Igarashi

Saru, Daisuké Igarashi

Une partie de ce bon gros pavé (450 pages) se passe à Angoulême, un joli clin d’oeil à notre capitale de la BD (j’ai hâte de retourner au festival !).

Évoquant tour à tour les prophéties de Nostradamus, les légendes chinoises (autour du roi Singe : un singe immortel né de la Terre), la cosmologie et différentes mythologies, on navigue à l’autre bout du globe en quelques secondes du Bhoutan au Japon, en passant par Pékin ou Angoulême.

On retrouve la même multiplicité dans le choix des personnages (prêtre du Vatican, étudiante japonaise, jeune amnésique…) qui finissent inexorablement par se retrouver autour de cette fin du monde dantesque.

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  • Résumé :

Dans ce volumineux manga Daisuke Igarashi (Les enfants de la mer) change de registre avec une histoire mêlant une prophétie de Nostradamus et d’anciennes légendes chinoises liées au roi Singe.
On y retrouve la veine ésotérique que l’auteur avait explorée avec Sorcières (Casterman), mais dans un cadre à grand spectacle (et où une partie de l’action se passe – clin d’oeil de l’auteur – dans la capitale mondiale de la bande dessinée : Angoulême !).
Les deux personnages principaux, une jeune fille japonaise et un garçon du Boutan, portent avec force ce fascinant récit apocalyptique….

 

 

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