⇢ Un voyage sur les routes de la France déconfinée
S’il n’y avait pas eu le premier confinement et l’arrêt brutal de l’actualité théâtrale, Philibert Humm n’aurait pas quitté le bureau du Figaro où il rédigeait ses articles culturels pour partir en balade journalistique à peine le déconfinement proclamé.
Il nous propose ici le résultat de cette expérience, son « tour du monde sans quitter la France ».
Un road trip plein d’humour à travers la France, à la découverte des villes et villages « presque comme » l’Amazonie, la Californie ou même les canaux vénitiens…
Est-ce que c’est un mensonge ? Pas vraiment car enfin : « L’Amazonie auvergnate ressemble beaucoup (un peu) à l’Amazonie telle que se la figure celui qui n’y a jamais mis les pieds. »
C’est l’image d’Épinal qui fait mousser l’histoire et la ressemblance ! Et puis il y a la culture, pardon les cultures et folklores, les anecdotes…
Et les rencontres inattendues car, en deuxième partie d’ouvrage, l’auteur nous invite à lever le pouce pour parcourir les chemins avec lui en auto-stop.
C’est divertissant, léger, un petit vent de liberté : peut-être que cette balade vous permettra de trouver la destination de vos prochaines vacances ?
Retrouvez plus de détails sur le site de l’éditeur…
𝗥𝗲́𝘀𝘂𝗺𝗲́ : Pour Philibert Humm, l’aventure est au coin de la rue. Ça tombe bien, il n’avait pas l’intention d’aller plus loin. En Tintin écrivain et fantaisiste, il aime explorer et découvrir les lieux qui l’entourent. Muni d’une pancarte « N’importe où », il réinvente l’art de l’autostop et se laisse porter, au gré des voitures et des rencontres. Ainsi il nous offre, de la France et de ses habitants, des portraits tendres et poétiques.
Dans une parenthèse de liberté qu’il s’empresse de saisir entre deux confinements, il prolonge ses tribulations en van Volkswagen, avec la certitude qu’il peut faire le tour du monde sans quitter la France. Montargis n’est autre que la Venise du Gâtinais, Coutances la Tolède du Cotentin, Chicago un quartier de Toulon, tandis que Rustrel est le Colorado du Luberon.
C’est à ces voyages, d’une ville l’autre, que nous invite Philibert Humm, en doux flâneur.