Daruchan, Haruna Lemon

Daruchan, Haruna Lemon

Ce manga décrit le quotidien on ne peut plus ronronnant d’une employée de bureau japonaise.

Pourtant Narumi Maruyama cache bien son jeu… Sous des apparences « normales » se cache en effet Daru-chan une extraterrestre de la planète Darudaru…

Vous vous doutiez bien que ça ne pouvait pas être aussi « ronronnant » que ça ^^

Si dans l’intimité, Narumi peut relâcher la pression et être elle-même, le reste du temps, elle s’oblige sous une forme humaine plus acceptable…

En tant qu’employée intérimaire et femme, Narumi doit sans cesse se conformer à l’image que l’on attend d’elle : accepter la muflerie de certains hommes, les supérieurs qui rabaissent, les normes sociétales qui sont comme de véritables camouflets.

Forcément en cachant sa vraie personnalité, Narumi souffre, ne se sent à sa place nulle part et ne trouve chez les autres que du mépris ou de l’incompréhension, ou pire de l’indifférence…

Mais cette situation ne peut plus durer…

Voilà un manga déroutant qui va parler à tous ceux et surtout toutes celles qui se sentent différents, les hypersensibles, les hauts potentiels, les femmes qui créent, qui écrivent (ah bon ? C’est juste comme ça ? Pas un vrai métier non ?).

C’est aussi l’histoire d’une émancipation féminine, de la puissance intérieure et créatrice qui permet de se libérer pour vivre sa vie telle qu’on le désire et guérir son ego fragilisé, se révéler au propre et au figuré.

Retrouvez plus d’infos sur le site de l’éditeur

  • Résumé :

Daru-chan vient de la planète Darudaru, mais elle cache sa nature d’extraterrestre sous les traits de Narumi Maruyama, une employée intérimaire ordinaire de 24 ans. Il n’est pas question pour elle de révéler son vrai visage, alors elle s’efforce de maîtriser les règles de la société pour trouver sa place parmi ses collègues. Mais à force de passer son temps à se fondre dans le décor, elle ne sait plus exactement ni ce qu’elle est, ni ce qu’elle pense au fond d’elle-même. Jusqu’à ce qu’une rencontre lui donne l’occasion de voir le monde autrement…

 

On reste au Japon avec un « American Psycho japonais » totalement de saison : La leçon du mal de Yûsuke Kishi.

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