Carnets noirs, Stephen King

Carnets noirs, Stephen King

Les fameux Carnets noirs font partie d’une trilogie, il est le deuxième couplet de la série qui comprend Mr Mercedes (prix Edgar 2015) et Fin de ronde (2016) où l’on suit les aventures d’un policier à la retraite : Bill Hodges.

La dernière de couv’ nous indique que 30 ans après Misery, Stephen King reprend ici l’un de ses thèmes de prédilection : l’obsession d’un fan.
Et le fan c’est Morris bellamy et il est complètement siphonné, je peux vous le dire, aussi quand son auteur favori John Rothstein ‘ose’ mettre au pilori son héros Jimmy Gold, il décide tout simplement de le liquider! (Avouons qu’il l’avait bien cherché tout de même argh…).
Pas sans avoir au préalable visité le coffre-fort de la maison, pas pour le fric (ça il le laisse à ses coéquipiers, mauvais lecteurs sans doute…), mais pour mettre la main sur les carnets de notes de l’auteur.
Enfin, tout ne va pas vraiment se passer comme il l’aurait voulu.

Nous voici donc parti pour 576 pages d’un thriller palpitant. L’objectif est atteint, Stephen King sait où appuyer, être fan n’est pas de tout repos !
C’est vraiment du grand art et malheureusement je vais devoir attendre un peu pour trouver l’ultime volume de la série.

Au passage on suit un drôle de zouave, Brady Hartsfield (il y a des chances pour que l’histoire commencée au volume 1 se poursuive dans le dernier opus, j’dis ça, j’dis rien…).

Retrouvez plus d’infos sur le site de l’éditeur

  • Résumé :

En prenant sa retraite, John Rothstein a plongé dans le désespoir les millions de lecteurs des aventures de Jimmy Gold. Rendu fou de rage par la disparition de son héros favori, Morris Bellamy assassine le vieil écrivain pour s’emparer de sa fortune, mais surtout, de ses précieux carnets de notes. Le bonheur dans le crime ? C’est compter sans les mauvais tours du destin… et la perspicacité du détective Bill Hodges.

Après Misery, King renoue avec un de ses thèmes de prédilection : l’obsession d’un fan. Dans ce formidable roman noir où l’on retrouve les protagonistes de Mr. Mercedes (prix Edgar 2015), il rend un superbe hommage au pouvoir de la fiction, capable de susciter chez le lecteur le meilleur… ou le pire.

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